Les habitants venus des différentes avenues de la ville de Bukavu ont réservé un accueil chaleureux au Président fondateur de la fondation ANANSOFT, Ananie Lunanga ce dimanche 1er octobre 2023 à l’école primaire Majirane au quartier Cimpunda en commune de Kadutu.
Habillé en salopette et casque de protection sur la tête comme un vrai ouvrier, Ananie Lunangu a été accompagné par les membres du comité de sa fondation, les cadres de base et certains acteurs sociaux à la cour de cette école où, il s’est adressé à la population.
Celui-ci a laissé entendre que sa présence se justifie par le soucis qui l’anime de vouloir contribuer à la lutte positive de rendre la ville de Bukavu propre, une initiative qui rentre dans les projets de société qu’il execute à travers sa fondation.
« Le travail communautaire va contribuer à assainir notre milieu, à réduire les contaminations et cultiver le vivre ensemble. Dans cette lutte, j’ai eu à installer à travers la fondation ANANSOFT 5 milles poubelles dans la ville de Bukavu mais aujourd’hui toutes ont été détruites par des mauvais citoyens. Nous vous invitons à un comportement responsable pour la protection des actions de développement qui peuvent être posées dans nos milieux. Chacun a un rôle à jouer pour rendre salubre notre ville, commune, quartier et avenue », a déclaré Ananie Lunanga.
Touchant sur ses ambitions politiques, le surnommé « Mwami de Cimpunda » a fait savoir du haut du podium qu’il finit par céder à la pression de sa base qui ne cessait de l’appeler à déposer sa candidature pour qu’il les représente valablement au parlement congolais.
Lunanga a annoncé à l’opinion qu’il a déposé sa candidature à la députation provinciale sur la liste du parti politique BUREC et sera accompagné dans cette lutte par un autre fils du terroir, Nonozi Joseph.
Signalons qu’à cette même occasion, Lunanga a reçu des brevets de mérite et cadeaux de la part des comités directeurs des différentes organisations des femmes petites commerçantes bénéficiaires de la subvention de sa fondation, ANANSOFT.
Patrick MAKIRO