Plusieurs tendances politiques fustigent la manière dont la CENI a géré la période du dépôt et de traitement des candidatures à la présidentielle du 20 décembre 2023 en RDC.
Certaines de ces tendances condamnent ce qu’elles qualifient « d’écartement voulu » de certains prétendants qui voulaient compatir aux côtés des autres à ce poste, qui pourtant « devraient garantir l’indépendance, la crédibilité de l’institution et l’inclusion de les tous les congolais ».
Dans une dénonciation faite ce samedi, le parti politique « Démocratie universelle et inclusive artisans de la paix, D.U.I en sigle, fédération urbaine de Goma au Nord-Kivu, renseigne que Mr Henock Gila qui voulait présenter sa candidature à la présidentielle s’est vu écarter par la CENI pourtant son « dossier remplissait tous les critères voulus par la CENI ».
« De ce fait, notre combat est de militer pour qu’il y’ait équité pour tout le monde. L’un des moments qui unissent le plus les peuples est bel et bien cet exercice démocratique des urnes », lit-on dans leur lettre de dénonciation.
Enfin, la D.U.I demande à la Cour constitutionnelle de « rétablir en urgence le droit civique de son candidat pour l’inclusion de tous les congolais à ce processus électoral.
Jonas KASULA