Le très attendu verdict en appel dans le procès dit de 100 jours impliquant l’ancien directeur de cabinet du Chef de l’Etat Vital Kamerhe vient de tomber.
Condamné à 20 ans des travaux forcés au premier degré, les juges du second degré ont décidé de réduire la peine du président de l’Union pour la Nation Congolaise, UNC, à 13 ans des travaux forcés.
« La cour d’appel condamne Vital Kamerhe à 13 ans des travaux forcés », confirme la Radio France Internationale captée ce soir à Bukavu.
Par ailleurs, Samih Jammal et Jeannot Muhima, d’autres coaccusés dans ce dossier, sont condamnés respectivement à 6 ans et à une année des travaux forcés.
Dossier à suivre…