Il est vrai qu’avec sagacité, le terme blanc renvoi à une couleur sans tâche, tandis que l’habit renvoi aux vêtements pour couvrir le corps. En allant très loin, on peut couvrir l’homme et la société par des vertus, chacun à ce qui le concerne.
Vital Kamerhe comme unité de mesure de Paix, veut dire “idéologie, enseignement, culture, de la compétence, de la diplomatie, du patriotisme, de la passion, de l’art oratoire, de la transparence, de la redevabilité, de l’efficacité, de l’efficience en vision d’action, de la constance politique, de l’engagement et de la détermination de servir, de la simplicité, de l’humilité ainsi que de l’éthique”: valeurs caractérisant toutes ces disciplines dans tous les domaines, qui doivent être évaluées à travers un résultat performant aux différents services dont on exercice en gestion de la res publica où ailleurs, et aux différents postes.
Car lui-même disait-il” ce n’est pas le poste qui fait l’homme mais c’est l’homme qui fait le poste”. Car les valeurs vont mieux très chères que la richesse.
Ce qui fait tri, du vrai au faux, c’est le service qu’il rend, c’est-à-dire indicateur d’évaluation de ceux qui acceptent de se vêtir de sa façon, le travail, le savoir être, savoir-faire, savoir-faire-faire en témoignage comme préalable. Accepter d’être Kamerhiste oui, ça ne se dit pas, ça se montre, ça se sent, ça se vit au quotidien, qui devient un baromètre de ceux qui satisfassent à son enseignement. Voulez- vous connaître un Kamerhiste en habit blanc, allez-vous en, à son service : que disent ses responsables, ses collaborant, ses subalternes, va-t’en fouiner, vérifier, suivre sa communication: que fait-il ?que dit-il ? Le peuple en dit autant…
Kamerhe comme unité de mesure de Paix.
La gestion orthodoxe et administrative du géant Parti en République Démocratique du Congo.
L’Union pour la Nation Congolaise UNC, en est une illustration atypique, depuis 1960 jusqu’à à nos jours, pas encore connus pareil ; des cellules en sections, des fédérations de la jeunesse qu’aux femmes, Urbaines et des Inter Fédérations, des branches spécialisées aux différentes zones nationales qu’aux diasporas, jusqu’au directoire politique national. Car pas des rejetons, moins encore les miettes à son sein, chacun en a une place de choix, les doyens aux nouvelles générations, voilà ma viscérale…
La RDC face aux menaces des voisins et l’occident
Désormais, il est remarquable de l’incrédulité voisinage de la RDC d’où, la nécessité de la construction d’une clôture.
La RDC est une machine tournante, une solution pour l’humanité, suite à ses ressources naturelles, à ses propriétés intellectuelles, à ses moyens d’autodéfense alimentaire, sécuritaire et sanitaire adéquat avec une population jeune, ainsi que d’autres spécificités qui le place à une bonne position de la lumière du monde. Elle a besoin aussi d’une technologie moderne qui répond efficacement aux objectifs du millénaire.
Ceux-là n’étant pas l’occasion de créer des conditions de survie des populations (santé universelle, infrastructures des bases de qualité, l’éducation pour tous, l’eau et l’électricité, le moyen de transport accessible pour tous, ainsi que la création des emplois:
le contraire est vrai, quand les voisins s’indignent de voir le peuple congolais vivre en paix, et occasionnent des germes des conflits soutenus par les multinationaux occidentaux, en imposant un mode de gestion inadapté aux is et coutumes et au contrat social. Soit au Président de la République, soit aux leaders sociaux ; suite à ceux-la, l’accession au pouvoir dévient un deal magique, au lieu de respecter des règles du jeu démocratique et de l’expression libre du souverain primaire par voie électorale, ça devient de la mathématique.
Ainsi, aussi longtemps que l’Afrique n’aura pas à se souder les mains pour la paix, la stabilité, le développement, et que l’Occident abandonne sa mauvaise manière d’interférences tacites dans la gestion interne des états, en faisant semblant de reconnaître leur souveraineté, qui est possible dans divers discours, en même temps des accords dangereux sont signés et d’autres sont imposés, et des milliers de millions de dollars sont dilapidés.
Pour avoir ce dont ils ont besoin, ils préfèrent des raccourcis en violation des principes réglementaires, instruments internationaux et nationaux préétablis, presque dans tous les secteurs pour accroître d’avantage leurs économies à travers l’exploitation illicite des ressources naturelles, le développement de la modernisation rapide de leurs industries de la nouvelle technologie. C’est pourquoi, il n’est pas évident de donner crédit à la conférence de Bruxelles-Unions Afrique-Union Européenne qui s’est tenue le 17 au 18 février l’an deux-mille vingt-deux à Bruxelles, où plusieurs thèmes transversaux sur l’humilité ont été abordé.
Il reste d’observer les conditions et les genres d’accords préalables qui vont suivre, devant permettre d’entrée en jeux rapides et décisives pour l’Afrique. Là, l’Afrique se voit être producteur des matières premières pour les industries modernes Européennes, et devient encore premier consommateur des produits finis de ses propres matière premières, quelle paradoxe !!!! Pourtant les règles et la politique des commerces internationaux sont bien légiférer.
Pour dire que selon les données statistiques à notre possession: les produits de l’Afrique vers l’Europe paraissent infinitésimale que les produits de l’Europe vers l’Afrique. Donc la courbe est transcendante sur les marchés internationaux que de celle de l’Afrique.
L’Europe ici, active tous les mécanismes possibles des restrictions pouvant leur permettre d’atteindre leurs objectifs. Les leaders africains qui voudraient la mutualisation de force à leur manière de faire, ils deviennent leurs cibles soit l’embargo, tracasseries des institutions financières internationales, soit l’exile, le coup d’État, la prison ou la mort… Cela étant, une cause monumentale pour l’Afrique au sous-développement, et au recule démocratique.
En conséquence maintenant, certains entre eux deviennent des marionnettes par la lâcheté. D’où il faudrait une diplomatie agissante des organisations de droit de l’homme, des sociétés civiles: de la même manière que les États avaient-ils réclamée l’indépendance contre leurs colons pour s’en sortir. Doivent-ils procéder par les mêmes moyens si l’occident ne voudrait pas des coopérations avantageusement mutuelles ainsi que le respect strict de la souveraineté de chaque Etat.
Les États Africains victimes de cette barbarisme occidentale sont nombreux sans pour autant les comptes. Il serait important de reconnaître que les États forts améliorent leurs forces tandis que les États moyens renforcent d’avantage leurs moyens car il est impossible qu’on reste dans ce système. Car le monde évolue et tout change. C’est une grande perte pour l’Afrique connue de tous. Les Etats ne peuvent pas évoluer dans cet état de cause.
La RDC se voit au centre comme solution en Afrique et dans le monde, dans l’entre temps comme l’ennemi à abattre.
La RDC a une terre à récupérer au Rwanda.
Nous ne pouvons pas oublier l’histoire de notre Pays la République Démocratique du Congo et du Bushi en particulière qui, à travers des faits historiques, des ouvrages comme le” Trois siècles chez le Bushi” ainsi que des ouvrages des certains écrivains belges et la conférence récemment du professeur ISIDORE NDAWEL, bien connus, peuvent vous dire sans ambigüité de cette partie de terre de la RDC se trouvant au Rwanda, connue d’ailleurs non seulement par des Rwandais eux même mais aussi par des colons belge, bien qu’ils voudraient effacer l’histoire de tout un peuple.
Ces ouvrages y compris ceux de l’abbé KAGARAGU, tracent sincèrement la superficie du Bushi qui arrivait au Rwanda, l’histoire de Sept Fils de NYAMUHOYE en est une démonstration de preuves.
Cette Partie de terre là, n’a jamais fait l’objet d’une discussion de récupération, étant dans des archives de la RDC et fait partie de l’histoire de génération en génération des congolais et congolaises qui en connaissent ceux-là, ne peuvent en aucun cas, pas même une seconde en ‘oublier. Comme il est clairement bien noté. çà ne peut pas non plus surprendre personne si un jour des congolais et congolaises aillent occuper cette partie congolaise au Rwanda parce que c’est la nôtre.
Cette Partie-là s’appelle CHAGUGU , KAMEMBE et toute la partie du mont NYUNGWE, sans citer d’autres ; même toute partie du mont NYUNGWE, du point de vue origine, c’est un nom bantou, le nom NYUNGWE, un nom shi, (cinyungwe, chinyungwe) qui veut dire c’est lui qui s’extrait des autres.
Donc, le premier habitant de ce milieu qui nomma cette forêt, le mont de NNYUNGWE que les Rwandais s’approprient abusivement, car conquis par l’un des Fils de NYAMUHOYE, qui est venu de NINDJA avec ses frères, ses frères se sont partagés tous les restes du Bushi. En tout état de lieu, cette partie doit nous revenir. Nous ne saurions dormir et se réveiller paisiblement tant que cette partie ne soit occupée par les propriétaires. Ceux-là risqueraient de nous pousser à utiliser les moyens des ancêtres qui nous ont procédé à ce lieu.
Si nous sommes vraiment des patriotes et des conservateurs des valeurs de notre patrimoine commun de génération en génération, de la République Démocratique du Congo, nous devons récupérer des portions de terre qui se trouvent ça et là ainsi que ramasser de nos propriétés intellectuelles qui se trouvaient dans des musés de certains pays étrangers envie de bien vouloir construire l’unité de tout un peuple fort et prospère.
Jean-Louis BYAMUNGU.