Clôture ce samedi 11 septembre 2021 de l’atelier de renforcement des capacités des journalistes sur la prévention des violences basées sur le genre, VBG en sigle, par l’organisation féminine « sauti ya mama mukongomani ».
Pendant deux jours, des journalistes de Goma ont été outillés sur les normes sociales et instruments juridiques de protection des droits des femmes et des filles.
Pour la suite et la fin de cet atelier tenu au siège de l’union nationale de la presse du congo, UNPC, section du Nord-Kivu, plusieurs modules ont été développés par les défenseurs des droits de l’homme et les experts en matière du genre.
C’est entre autres l’approche axée sur le genre et fondée sur les droits de l’homme, les normes sociales néfastes à l’égard des femmes et plusieurs autres aspects qui cadrent avec le genre.
A cette occasion, la présidente de l’union pour la presse du Congo, madame Rosalie Zawadi a fait un rappel sur l’éthique et la déontologie du journaliste congolais et a insisté sur le professionnalisme des journalistes pour donner une bonne information à la communauté.
De leur part, les chevaliers de la plume, promettent la vulgarisation des acquis de cette formation pour que la question du genre soit bien comprise dans la communauté.
Pour se faire, un travail d’élaboration d’un plan de communication pour la prévention des VBG et promotion du genre a été soumis à chaque participant pour appuyer et accompagner la lutte contre les violences sexuelles basées sur le genre.
Pour rappel, cet atelier a été organisé par l’organisation féminine Sauti ya mama mukongomani et financé par ONU Femmes dans le cadre de son projet lutte pour l’éradication des violences sexuelles et basées sur le genre, exécuté à Goma, dans les territoires de Masisi, Rutshuru et Nyiragongo au Nord-Kivu.
Jonas KASULA depuis Goma
