Le 1er mars de chaque année, l’humanité commémore la journée mondiale de la protection civile, une occasion pour sensibiliser les populations sur les mesures à adopter en cas des catastrophes naturelles et attirer l’attention du public le plus large sur les stratégies prises par le gouvernement pour protéger ses citoyens.
Au Sud-Kivu, la protection civile reste un travail dur pour le gouvernement suite aux multiples cas des catastrophes naturelles qui se produisent en ville tout comme dans les territoires.
Les incendies à répétition, les éboulements de terre et les noyades dans le lac Kivu font de la protection des citoyens une lourde responsabilité des dirigeants.
Les constructions anarchiques, la vente des parcelles aux endroits non appropriés et l’absence d’une politique gouvernementale dans la lutte contre les catastrophes exposent la population aux noyades, incendies et éboulements.
Il est à souligner que la célébration de la journée de protection civile fut retenue car elle est, celle de l’anniversaire de l’entrée en vigueur de la Constitution de l’Organisation Internationale de la Protection Civile, OIPC, le 1er mars 1972.
Patrick MAKIRO