« Le citoyen n’est pas un consommateur, c’est un producteur d’idées, de conviction d’engagement de solidarité », c’est dans cette citation de François Bayrou que se résume la vie d’un Jeune gomatracien engagé dans la production d’idées et de conviction pour le développement de son Pays, Stéphane Kakule, un Jeune passionné par le combat de ses pairs. Labeur.info vous propose le portrait de cet jeune dont les ambitions sont sans frontières.
Né dans la ville de Beni, le 12 octobre 1995, Stéphane Kakule est fils de Kambasu Floribert et de Kavira Saukira. Il a fait ses études primaires à l’EP Malepe et ses études secondaires à l’Institut technique Industrielle de Kasabinyole, avant de poursuivre ses études supérieures à l’Institut Supérieur des techniques appliquées, ISTA-Goma, où il obtint son diplôme de graduat en électromécanique en 2018.
Etudiant en deuxième année de licence, ce jeune tient le coup, malgré la pandémie de coronavirus car déterminé à finir ses études.
La voix de sans voix
« Je suis engagé dans plusieurs organisations des Jeunes. J’ai été le porte-parole provincial des étudiants du Nord-Kivu, avant ça j’ai eu l’occasion de diriger les étudiants de l’Institut Supérieur des techniques appliquées, ISTA-GOMA, au cours de l’année académique 2017-2018. Je me suis lancé après dans la perspective de conquérir le Conseil Provincial de la Jeunesse, même si les élections n’ont pas encore eu lieu, j’aspire toujours à ce poste et je fais de mon mieux pour y déposer ma candidature les jours des élections », révèle-t-il.
Un homme engagé
Stéphane Kakule est engagé dans les activités qui mettent le Jeune au premier plan.
« Je suis membre du Forum National de la Jeunesse, je suis également président du Mouvement des représentants et leaders des étudiants au Nord-Kivu, je suis aussi un acteur de la Société civile », explique-t-il.
Passionné par le football et la boxe, Stéphane préfère vivre dans deux villes du ppays « à Goma et Béni sa ville Natale ».
Malgré son engagement dans le développement de la communauté, ce jeune n’a pas encore fini sa mission. Il compte demeurer actif dans la société civile, pour être la voix de sans voix.
Jonas KASULA