Le bureau urbain de la société civile de Bukavu manifeste sa réjouissance face au climat de paix qui revient progressivement entre la société Bralima et certains dépositaires qui ont manifesté un mouvement de grève pour dénoncer notamment un mauvais traitement de la part de leur partenaire (Bralima).
Dans un point de presse tenu à Bukavu ce mercredi 28 Février 2024, cette structure de la société civile a rassuré suivre de près le dossier et se réjouie des avancées remarquables dans ces tractations.
Dans leur déclaration lue par Alain Shindano, Président de la société civile urbaine, il est mentionné que la médiation a consisté d’abord à s’imprégner des avis de chaque partie avant que les recommandations ne soient formulées, de part et d’autre, pour aboutir à un climat de paix.
“Le Bureau urbain de la société civile de Bukavu et la Nouvelle Dynamique de la société civile Sud-Kivu, NDSCI en sigle, se réjouissent des avancées significatives des tractations entre un groupe de dépositaires et la société civile sur un conflit qui les oppose à la Bralima notamment la hausse des produits de la Bralima. Le Bureau Urbain et la NDSCI, aussitôt saisis par ces parties, a commencé par des tractations entre deux groupes des dépositaires opposés en guise de chercher une solution et sauvegarder la quiétude entre ces derniers et la population, étant donné que la Bralima contribue positivement à la vie de la province mais aussi des différentes famille”, déclaré Alain Shindano.
La société civile appelle les dépositaires à toujours privilégier la voie du dialogue pour résoudre toute mésentente et sauvegarder l’image de la société Bralima qui, pour elle, contribue au développement de la province.
“Le Bureau Urbain et la NDSCI demandent aux dépositaires de privilégier toujours le dialogue piste pour résoudre les différends en cas de conflits : et met en garde certains individus qui pour privilégier leurs intérêts aux sociétés brassicoles sœurs, cherchent à saper l’image de la société Bralima. Le Bureau Urbain et la NDSCI annoncent la fin des différends entre les dépositaires et la Bralina et demandent à la population de toujours chercher l’information à la source”, conclut Alain Shindano.
Patrick MAKIRO
