De la campagne électorale, à l’accession au pouvoir, depuis 2018. Nous avons vu le peuple congolais blindé par une force incommensurable, l’espoir total de la reconstruction de la République, joie jusqu’au coup de vivre congolais, la paix au front, la largeur d’esprit et la confiance, l’amour de la patrie, la détermination de contribuer au développement du pays dans tous les secteurs, voir l’élan de l’éducation qui aurait fait danser les parents. Mais hélas !!!

Une année plus tard, nous avons vu la désinstallation des valeurs républicaines au détriment des abus du pouvoir, caractérisant le leadership au sein des institutions du pays ; l’inimitié, la partialité, l’emportement, la division, l’envie et l’excès, les querelles, la rivalité, la jalousie, l’égoïsme, la corruption, la haine et le tribalisme que provoquent de grandes conséquences que nous vivons aujourd’hui. Bien que bénit d’une part, par une main noire  de l’orient et de l’occident, du sud et du nord en créant des problèmes qui mettent le pays de nos ancêtres, de Lumumba, de Laurent Désiré, des congolais et congolaises à l’envers ; d’une autre part, ils cherchent avec frénésie les actions qu’ils pourraient commettre pour y arriver.

Responsabilité collective

Nous voulons vivre la vraie démocratie qui émane du peuple par et pour le peuple. Par ailleurs, si on se croit quelque chose alors qu’on est rien, on se trompe soit même. Que chacun examine ses propres œuvres et moyens et qu’il y trouve quelque fierté, qu’il a gardée pour lui-même au lieu de le faire sentir au peuple. Pour cela, oui, que chacun endosse la responsabilité de son pouvoir  vis-à-vis des actions pour la République, si et seulement si, il s’exprime par voie référendaire ou électorale ; celui donc qui se fait élever doit rétribuer celui qui lui donne cette force de choix (pouvoir) selon ce dont il dispose dans le strict respect des lois du pays. Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas du peuple. Et finalement chacun récoltera ce qu’il a semé, continuons à faire du bien à nos mandataires sans faillir. Si nous ne décourageons pas, le moment venu, nous récolterons ce que nous avons semé, agissons spécialement en faveur de la population qui incarne une énergie toute puissante.

Nous devons renoncer à notre ancienne façon de vivre, au mensonge, que chacun dise la vérité à l’autre car nous sommes tous des congolais en droit et en dignité. Débarrassons nous des injures faciles, des incompréhensions de tout bord, des colères, des cris… ayons toutes les armes de façon à résister les jours difficiles de notre histoire et défendre l’intégrité de notre territoire : la République Démocratique du Congo dont nous partageons la paternité en vue d’éteindre toutes les stratégies et paroles incendiaires de l’adversaire.

La pensée finesse de Kamerhe

Tandis que KAMERHE mets sa  pensée au cœur de l’intelligence pour la République, ses actes qui manient  la parole en faveur du peuple, en contrôlant la conscience avec attention et l’action qui en découle c’est du développement et la reconstruction, c’est-à-dire la refondation de l’Etat. Alors, je dirais en pensée finesse que ; lorsque on rencontre l’assentiment des concitoyens vrais. Alors on pense à l’éducation de l’éloquence qui se moque de l’éloquence. La vraie morale se moque de la morale, c’est-à-dire que la morale du jugement se moque de la morale de l’esprit sans règle et en sens. Vu que le jugement est celui à qui appartient le sentiment comme les sciences appartiennent à l’esprit ; la finesse est la part du jugement, la langue l’est pour l’esprit. Se moquer de la philosophie de gestion de la Res publica de Vital KAMERHE est vraiment philosopher. Comme on se gâte l’esprit, on se gâte aussi le sentiment par le peuple, on se forme l’esprit et le sentiment par  des fortes épreuves et conversations. Ainsi, les bonnes ou mauvaises  épreuves et conversations le forment ou le gâtent, et on ne peut faire ce choix que si on ne l’a pas encore ni formé et ni gâté. Ainsi, cela fait cercle, d’où sont bienheureux ceux qui sortent.

Au fur à mesure qu’on a l’esprit, on trouve qu’il y a des hommes originaux ; les gens du commun ne trouvent pas de différence  entre les hommes. Alors, on se persuade mieux par l’ordinaire, par des  raisons qu’on n’a pas soi-même trouvées ; par celles qui soupçonnent de l’esprit des autres. Quand un discours naturel peint une passion, on trouve  en soi-même la vérité de ce qu’on entend ; laquelle on ne savait pas. Quelle y fut en sorte qu’on est porté à aimer celui qui nous le fait sentir, car il ne nous l’a pas fait montrer de son bien, mais du nôtre. Ainsi, ce bienfait nous rend aimable, outre que cette communauté d’intelligence que nous avons avec lui, incline nécessairement le cœur à aimer la patrie.

L’éloquence est un art de dire les choses de telle façon que ceux à qui l’on s’adresse puissent les entendre sans peine et avec plaisir et qu’ils s’y sentent  intéressés en quelque sorte d’un amour-propre. Elle consiste, en outre, dans une correspondance, qu’on tâche d’établir entre l’esprit, l’action et le cœur de ceux à qui l’on parle d’un côté et de l’autre les pensées et l’expression dont on  se sert ; ce qui suppose qu’on aura à étudier le cœur de l’homme pour en savoir tous les ressorts et trouver ensuite la juste proportion du discours  qu’on veut y assortir. Il faut se mettre à la place de ceux qui doivent nous entendre et faire essai sur son propre cœur du sens qu’on donne à son discours. En vue de voir si l’un est fait pour l’autre;  et si l’on peut s’assurer que l’auditeur sera forcé de bien le comprendre ; se rassurer le plus qu’il est compréhensible dans le simple naturel, ne pas faire grand ce qui est petit ni petit ce qui est grand. Tous ce qu’on on fait pour la République, on le voit et on le vit au quotidien.

Qu’on ne dise pas je n’ai rien dit de nouveau, la disposition des matières est nouvelle quand on joue à la paume, c’est une même balle que joue l’un et l’autre, mais l’un la place mieux. J’aimerais autant me dire que je me suis servi des mots anciens et comme si les mêmes pensées ne formaient pas un autre discours; pas une disposition différente, aussi bien que les mots présentent d’autres pensées par leurs différentes dispositions, les acteurs politiques sont les mêmes, mais les uns pour leurs intérêts et les autres pour la République.

Ceux qui font les antithèses, en forçant les mots sont comme ceux qui font de fausses fenêtres pour la symétrie ; leur règle n’est pas de parler juste mais de faire des figures justes. C’est pourquoi, quand on voit un style naturel ou une gestion saine, on est tout étonné et ravi d’autant plus qu’on s’attendait voir son auteur et vouloir qu’il fasse plus. Ainsi, trouve-t-on un homme pour ceux qui ont le bon  goût du pays et qui, en voyant un livre, sont surpris de trouver un auteur. Cela honore bien la nature qui lui apprend qu’elle peut parler de tout même pour sa population. Quand on parle bien d’une personne, il s’agit d’une question, de fois une fausse louange qu’on donne à un homme. Pour cela, il est à noter que l’honnêteté est la qualité universelle de l’homme qui plaint à tous ses semblables. Au fait, en voyant l’homme, on se souvient  de son  langage et actions. Je voudrais qu’on ne s’aperçoive pas d’aucune qualité que par la rencontre avec lui, et l’occasion d’en user de peur qu’elle ne l’emporte et fasse baptiser, qu’on ne songe point qu’il ait bien parlé, car il est inconcevable qu’on croie bien d’un homme malhonnête, un diseur de bons mots. Ce qui le discrédite à tout bout de champ.

Il existe des gens qui parlent bien, mais qui n’écrivent pas bien ; donc ce que le lieu, l’assistance, les échauffourées tirent de leur esprit plus qu’ils n’y trouvent sans cette chaleur d’abus. Quand un discours est rempli des pléonasmes vicieux volontairement émis, il est de fois incompréhensible ; mais lorsqu’on essaie de les corriger, on le trouve si propre qu’on puisse gâter ledit discours ; il faut le laisser, c’est un style propre à l’auteur,  et c’est là, la part  de l’envie,  qui est aveuglé et qui ne sait pas  que cette répétition n’est pas faute à cet endroit selon lui-même ; car il n’y a point des règles générales, dans la disproportion de l’homme. On nous montre l’endroit où nous avons mis les connaissances naturelles. Disons, qu’il n’y a point des vérités dans l’homme et si elles le sont, il y trouve un sujet d’humiliation, forcé à s’abaisser d’une manière ou d’une autre ; et puisqu’il ne peut subsister sans le croire, je souhaite avant qu’il n’entre dans la plus grande recherche de la nature et la paix qu’il la considère une fois sérieusement, se regarde soi-même et reconnaisse sa proportion dans cela. Que l’homme contemple  alors la nature et la paix  entière dans sa haute et pleine majesté, qu’il éloigne sa vie  des objets bas qui l’environnent, qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle pour éclairer l’univers.

Crédo de Kamerhe et pensée logique

Maintenant qu’est-ce que la pensée logique traditionnelle ? Il nous arrive d’être surpris par la révélation des possibilités qui sont en nous, c’est ce qui advint au héros congolais, un homme d’Etat; mais qui est ignoré par certaines classes avec leurs raisons ; la soif de connaissance et compétences qui vivent en lui pour la République. Il était si raffiné de l’éducation de l’engagement et la croyance à la Paix, la bonne gouvernance et au développement intégral, jusqu’à ce que; cela, jouera un rôle du poumon d’Afrique; qui nourrit matin et soir sa volonté, son courage et sa détermination d’atteindre bon le destin  de son combat de longue en laine qui, prend sa première place de philosophie, mais interrompt  par des épines de tout genre et qui  lui adresse une requête un peu particulière des déstresses du peuple. La raison ou l’intelligence  est notre bien le plus précieux parce que c’est par elle que nous connaissons et comprenons le monde qui nous entoure, apprendre à raisonner logiquement, c’est être capable de mieux appréhender l’univers sous tous ses aspects moraux, politiques, intellectuels ou éthiques, c’est aussi savoir distinguer bien du mal, le vrai du faux, savoir faire la part des idées auxquelles nous sommes continuellement exposés par le bombardement de la presse sans nous laisser aller au scepticisme systématique ou à la crédibilité ; donc c’est grâce à la pensée logique qui nous amène à ce que nous croyons ;  fidèle à la raison, que nous sommes capables de faire tout; dans la réalisation de nos rêves.

Jean-Louis BYAMUNGU penseur libre

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