Depuis 1967, l’Initiative de la Conception de l’Union pour la Nation Congolaise, UNC en sigle, commença sa genèse par l’auteur. Où il apprend pour la première fois, la première voyelle « U » ensuite les consonnes « N » et « C » de l’alphabet français.
Il apprend également connaître comment former une lettre, un mot, une phrase non seulement de U, N et C mais aussi du calcul de : un, deux, trois… aux pieds de ses premiers instituteurs à l’école primaire des garçons Buholo lll, quartier Mosala, Commune de Kadutu, province du Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, et cela, en ordre utile.
Trois ans après, il étudia l’éducation civique et morale, l’histoire, la géographie, les sciences botaniques et zoologiques qui lui donnant le goût de la nature ainsi que le sens réellement de la personne humaine ; y compris ceux qui étaient d’avance entendus par ses parents et le voisinage d’un à l’autre ; qui formèrent toutes les énergies à compter et à écrire les jours de la semaine, mois et l’année, ceux-là, alimentèrent le courage et la connaissance intellectuelle de vouloir décrocher un certificat de l’éducation primaire ; motivé par ses enseignants.
L’attention, l’attitude et les vœux de devenir comme eux ou plus qu’eux ; ici le diplôme est envisageable.
L’aventure commença et nourrit par les stages linguistique, géographique et historique ; dites par des mutations professionnelles de ses parents ; là, les langues nationales et autres furent connues.
A cette époque, son cœur ruminait les traitements inhumains, des injures, la pression de ses concitoyens, ses parents et autres par des colons belge.
Il étudia alors le nom de Lumumba, Kashamura, Kasavubu, Tchombe, Bolikango et bien d’autres ; la proclamation de l’indépendance par le Roi Baudouin ; toujours grâce aux formateurs, puis qui il l’apprend et entend l’histoire ainsi que des discours de Lumumba.
Comme il en est ainsi ; il apprend aussi la mort tragique de Emery Patrice Lumumba en 1961.
Ah!!, il se rappela de la voyelle « U » comme unité de longue, comme aussi abréviation d’universitaire ; il comprend donc qu’il faut affronter l’univers pour en avoir la connaissance universitaire d’appréhender les choses en toute globalité ; en 1980.
Il s’introduisit à l’université de Kinshasa et les sciences économiques rapportent sa mâche.
Ses observations, analyses, entendement, l’amenèrent à comprendre d’abord les éléments constitutifs d’une classe, d’un auditoire, d’un groupe ; qui compte plusieurs unités des différents horizons ; y compris les professeurs pour former un tout.
Il comprend aussi bien vite ceux qui les caractérisent ; des années en années dans leurs diversité.
Pour lui, « l’Unité » devient un élément indispensable.
C’est une question majeure qui tarodait son esprit ; celle de savoir ; comment chercher d’abord l’unité de ses camarades étudiants ; oui, il s’en va ; il en avait réussi une grande partie autour de lui ; qui le hissa d’ailleurs au poste de Porte-Parole de tous les étudiants de l’Université de Kinshasa en 1983.
Comme cela ne suffisait pas ; il alla chercher l’unité de ses amis ; de ses frères dans l’univers alors : en Afrique et en Europe.
Il arriva ensuite à différencier l’unité sociale, économique, politique qui l’amena à bien interpréter les dynamismes et fonctionnement des institutions universitaires, étatiques, organisations humanitaires nationales, internationales et des partis politiques qui le poussant dans sa jeunesse à signer sa première carte d’adhésion à UDPS, Union pour Développement et progrès Social.
Là, il palpa de ses doigts du réalisme amphigourique à son sein ; où il fit entendre ses idées politiques sous le régime du président Mobutu Seseseko Wazabanga ; en approchant certaines personnalités politiques et scientifiques du Pays (de la République du Zaïre).
A ce moment-là ; ses connaissances, ses compétences lui avaient values des amitiés importantes ; qui l’embauchèrent dans quelques ministères et commissions comme Conseiller et autres, où il pratiqua alors complètement le fonctionnement de l’appareil étatique en général.
Après avoir suffisamment compris la voyelle « U » et son importance ; il entreprend la démarche de vouloir comprendre supplémentairement les consonnes ; et là, la consonne « N » est ciblé.
« N » comme abréviation du nombre qui, témoigne aussi l’éthique (Foi) sous d’autres cieux.
Il prend cette lettre comme l’huile pouvant permettre d’atteindre l’unité du nombre ; c’est-à-dire ; le nombre démographique d’une entité donné ; autrement dit l’unité de la population de l’Etat ; puis des états ; pour dire qu’interne et externe.
A cette phase, la conception suit son cours normal. Ici, il vit désormais du bienfait de la voyelle « U » et de la consonne « N ».
N’étant pas suffisamment satisfait du résultat de ces éléments énigmatiques ; il pensa choisir une autre lettre intermédiaire entre le deux, et tomba sur la consonne « C » ; « C » comme abréviation encore à la forme symbolique.
Là, il retourna à la question de départ :
Celle de chercher l’unité de nombre de l’Etat plus la lettre « C » comme Symbole.
C’est ainsi qu’arithmétiquement parlant « Un, Deux et Trois égal (U, N et C). 1 égal Unité, 2 égal Population et 3 égal Etat », qui signifie aussi Nation.
Donc l’Unité de la Population de l’Etat.
Comme formule : l’Unité plus Nombre de la population égal l’État (U+N=C).
Enfin, on aboutit à une conclusion finale selon laquelle: “UNION POUR LA NATION CONGOLAISE, UNC en sigle, qui veut dire la même chose susmentionnée.
Tout cela étant bon et mûr dans son cœur et dans son esprit, sa pensée grandissait au fur et à mesure qu’il remémorait les événements, les dates, les guerres et les morts :
“La conférence de Berlin en 1885, les martyrs de l’indépendance en 1959, la proclamation de l’indépendance du Congo en 1960, l’assassinat de Patrice Emery Lumumba le 17 janvier 1961, la mort du Président Mobutu Seseko Wazabanga le 7 juin 1997, les massacres des enfants à Soweto, (journée de l’enfant africain) le 16 juin, la Restauration de la zaïrianisation en 1973, le Président Mobutu baptise la République du Congo au nom du Zaïre en 1971,(3Z), début de la rébellion du rassemblement congolais pour la démocratie, RCD, le 2 août 1998, la marche des chrétiens pour la réouverture du comité laïc de coordination le 16 février 1992, la libération du Congo par l’AFDL le 17 mai 1997, l’assassinat du Président Laurent Désiré Kabila le 16 janvier 2001, la rébellion du M23 le 23 mars 2012, etc..”.
LA NOSTALGIE.
Les études internationales menées par les étrangers belges sur le Congo, pendant la période coloniale, de prime à bord ; sont celles qui laissent couler l’ancre et salives suites aux résultats mystérieux des découvertes des gisements géologiques.
Actualisées par la Banque Mondiale et le programme de Nations-Unies pour le Développement, PNUD, ne cessent de susciter beaucoup des plans outrés de tous bords, car ils ont admiré que la République Démocratique du Congo est potentiellement riche en tout. “Tous les coups sont permis”, disent-ils.
C’est pourquoi nous ne cessons d’assister à des guerres en répétition.
Les prédateurs alors se sont constitués en un seul bloc à plusieurs ramifications en vue d’attaquer autant de secteurs à la fois et enfreindre le développement du pays par les ressources nationales.
C’est-ce qui suscite chaque minute l’intelligibilité du discours du héros national : Emery Patrice Lumumba et les congolais purs ; au regard de la précarité dans laquelle vivaient les nationaux, concoctés par les Etats-Unis d’Amérique et l’Union Européenne (la France, la Belgique, le Canada, l’Allemagne et l’Angleterre), états prédateurs de l’Afrique.
Les colonisateurs sont partis dans des discours mais ils sont toujours là sous d’autres formes ; afin de maintenir le Congo dans un contexte indescriptible de la pauvreté.
Tous ces complots sont machinés dans des officines en Occident ; ayant comme base arrière les pays limitrophes de la République Démocratique du Congo pour exploitation illicite des matières premières.
Ces plans commençaient par des guerres et rébellions, l’élimination physique des leaders, la création des virus pour attaquer les produits de première nécessité, réduction sensiblement des prix des matières premières sur les marchés mondiaux, création et alimentation des conflits inter ethniques, faire endetter jusqu’aux dents la République en renforçant les mécanismes de le rendre ingouvernable, création d’une situation humanitaire catastrophique, ouvrir des corridors aux réfugiés en guise de les pénétrer au plus fond et inciter leurs frères en vue de commettre des actions dégradantes et inhumaines pour la traumatisassion psychologique, morale, intellectuelle et mentale de leurs propres frères, les plus résistants, doivent recevoir de l’argent, les plus doués d’une capacité intellectuelle, doivent recevoir une bourse pour la rééducation systémique de leurs connaissances en vue de revenir lâche à toutes les décisions prises pour leur Pays.
Hélas!! Ce plan n’avait pas apporté des résultats comme ils l’attendaient !! Suite à production remarquable des jeunes diplômés des Universités Congolaises.
L’insuffisance des résultats du premier plan avait activité le deuxième parce qu’ils sont élaborés graduellement et chronologiquement.
Il advient alors celui de la balkanisation qui en 50 ans d’existence contre la République ; ils l’ont tentée à mainte et reprises pendant le régime du feu Président MOBUTU SESEKO WAZABANGA, pendant l’assassinat de Mzée Laurent Désiré Kabila, pendant la période de transition et maintenant à la table toujours.
Pendant le régime du Président MOBUTU ; présente un élément très important qu’on peut mettre à son actif ; seul de contribuer assez pour refaire l’Unité du Pays.
A cette époque; l’ONU avait un expert en matière de découpage, annexion, retranchement des états Africains; au nom de Willy Suing, succès qu’il avait eu sur le Soudan et l’Érythrée.
Alors son hiérarchie décida de l’envoyer en République Démocratique du Congo pour ce projet mais le pays était sous le coup des grandes tribulations non seulement en voie de balkanisation ; des rébellions mais aussi de l’assassinat du Président Laurent Désiré Kabila ; mort qui avait exacerbé la situation des belligérants ; mais le peu de temps que le président avait fait au pouvoir; il avait reçu à imprimer des paradigmes pour rassembler tous les Congolais et Congolaises, et à côté de lui, il y’avait un homme obsédé par l’unité et la paix qui ; savait l’importance majeure de ces pivots moteurs et son prix ; avec ses connaissances universitaires, ses expériences professionnelles et son esprit ancré au pays ; ne l’avaient pas laissé indifférent face à la question de la patrie.
Il se plongea de vouloir souder les cases qui ; l’amenèrent aux dialogues en dialogue pour aboutir à une transition vers les élections libres, démocratique et transparentes.
Soucier, l’homme de l’Unité et de Paix, il alla chercher l’unité de nombre, des langues, des institutions dans plus de 122 sur 145 territoires que compte la République pendant la période de la campagne électorale de 2006.
Les élections ont eu lieu qui ; le hissant au meilleur élu du pays comme législateur et au deuxième degré comme président de l’Assemblée nationale.
Les ovations furent nombreuses qui l’amenèrent à la proclamation par les parlements de l’Afrique centrale comme meilleur Président grâce à la compréhension maximale de « l’Unité ».
Deux ans et demi plus tard, il est évincé à ce poste car les prédateurs avaient bien compris que leurs plans contre la République Démocratique du Congo risqueraient de tomber en désuétude d’où l’activation des mécanismes à travers les étrangers congolais interne pour le faire déchoir.
Ici, la conception de la voyelle « U » et les consonnes énigmatiques « N,C » sont en terme d’accouchement (Élaboration).
Fallait-il ensuite chercher l’hôpital et les gynécologues ainsi que des femmes sages aguerris qui pourraient faciliter un bon accouchement d’une manière officieuse d’abord ; et il accoucha :
Le Nouveau-Né ; on le baptisa au Nom de UNC qui veut dire « UNION POUR LA NATION CONGOLAISE », l’enfant grandit en force, en âge et en Sagesse.
Quand l’âge d’enregistrement à l’Office de l’Etat arriva ; on l’amena au Ministère de tutelle pour se faire ; et le Ministère l’enregistra d’une façon officielle le 19 juin 2010 sous l’arrêté/Ministériel N°11 du 19 juin 2010.
Après cela ; il alla présenter par ses parents : aux Grands Frères, aux oncles paternels et Maternels, aux tantes, aux cousins, aux nièces, aux beaux fils et à toute la famille Congolaise en général.
Ceci dit ; nous qui l’accompagnions ; cet enfant dans la conception jusqu’à l’accouchement, nous étions témoins de naissance et défenseurs en tout état de cause.
Cet enfant là ; prend ses racines depuis la colonisation jusqu’à présent sur le sang de tous les martyrs, connus et inconnus, les injustices sociales de la République Démocratique du Congo pour faire la revanche absolue.
Voulez-vous tuer cet enfant ? Oui !! Ressuscitez d’abord tous les morts Congolais de la colonisation jusqu’à nos jours et rétribuez les biens des Congolais pris injustement, établissez la Paix et l’Unité ainsi que le Développement du Pays que vous avez longtemps dégradé, là vous aurez droit à cet enfant mais la loi !!! Si non, vous ne saurez en aucun cas nous ébranler ; parce que cet enfant fait partie des colombes ; bien que moi-même également et tant d’autres de cette doctrine que vous ne pouvez pas situer maintenant dans le temps et dans l’espace au regard de leur nombre croissant dans le quatre coins du Pays et qui réclament Juste et Paix.
Tous ce qui est en haut, sur la terre, dans l’air et en-dessous, feront tout pour mettre en échec tout plan sadique contre la République. Temps d’en abandonner.
Jean-Louis BYAMUNGU