Rédaction Après un processus électoral mouvementé, le Professeur Claude Nyamugabo fait un retour remarqué sur la scène politique. Arrivé au Sud-Kivu ce samedi 20 juillet 2024, en tant qu’autorité morale du Front pour un Congo Nouveau (FPCN), il a été chaleureusement accueilli, notamment à Nyantende dans le territoire de Kabare, où il s’est adressé à ses partisans.
“Je suis ici pour vous remercier, car le Président Félix-Antoine Tshisekedi a remporté 94% des voix dans le territoire de Kabare”, a déclaré le Coordinateur de la campagne électorale du candidat numéro 20 à la présidentielle de 2023 dans ce même territoire.
Son discours de retour a profondément inspiré la foule.
“Bien que je ne siège pas à l’Assemblée nationale durant cette législature, je suis conscient d’avoir reçu un soutien massif (…) Je suis de retour pour poursuivre le développement de notre région. Dans les jours à venir, nous finaliserons la construction de la maternité d’Ihemba. De plus, je m’entretiendrai avec toutes les strates de la population”, a-t-il assuré.
Le Professeur Claude Nyamugabo a réaffirmé sa loyauté envers le Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi et l’engagement de son parti au sein de l’Union sacrée de la nation.
Il a mis en lumière les défis à venir et a appelé les membres du FPCN à travailler ensemble, à rester unis pour faire face aux défis électoraux de 2028.
“Nous ne regarderons pas en arrière. Notre cap est fixé sur 2028”.
En résumé, la rentrée politique du Professeur Claude Nyamugabo marque bien plus qu’un simple retour sur le devant de la scène politique.
Le vendredi 19 juillet 2024, il a répondu à l’appel de solidarité nationale lancé par le Chef de l’État en apportant son aide aux déplacés de guerre dans le camp de Rusayo, en territoire de Nyiragongo au Nord-Kivu.
Les prochains mois s’annoncent décisifs, mais une chose est sûre : “le Professeur Claude Nyamugabo est prêt à répondre à tous les appels de la République pour relever les défis à venir avec détermination et audace, dans l’intérêt de tous les citoyens congolais”.
Ignace BONANE
