Rédaction Le Président des Ressortissants de Bukavu Résidents à Kinshasa, RBRK en sigle, Ir. Elias Tumusifu Cirimwami félicite le Prof. Modeste Bahati Lukwebo, Président honoraire du Sénat, pour son courage et l’abnégation dont il a fait preuve durant son mandat à la chambre haute du parlement congolais.
Dans une interview exclusive accordée à Labeur Info, Ir. Elias Tumusifu Cirimwami dit être impressionné « la grandeur d’esprit » du Professeur Modeste Bahati Lukwebo.
« Vous avez tracé des lignes ineffaçables à l’administration congolaise en général, plus particulièrement au Sénat. Aujourd’hui, tes administrés sont paralysés de vous voir démissionner. Légaliste de nature que vous êtes, nous sommes fiers d’être appartenu à l’école du savoir Alliance des Forces Démocratique du Congo, AFDC (…) Je suis incapable de détailler vos bons sens sur cette petite page marquant la bonne gouvernance au Sénat où, vous avez rendu l’inexistant, existant à travers votre savoir-faire et savoir-être”, a-t-il confié.
Ir. Elias Tumusifu Cirimwami se rappelle du rôle incarné par le Prof. Modeste Bahati Lukwebo dans l’obtention de la majorité parlementaire ; à la genèse de l’Union sacré du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
« Avec une grandeur d’esprit et une sagesse inouïe, vous avez été la colonne vertébrale de la majorité parlementaire qui a permis au Chef de l’Etat de finir son premier mandat, loin des turbulences de ses adversaires politiques. Aussi, durant la campagne électorale de 2023, vous avez été inépuisable aux contacts des populations pour prêcher la réélection du candidat numéro 13 à la présidentielle », a-t-il dit.
Le départ du Sénat pour d’autres défis.
« Vos valeurs sacrées étant la discipline, la rigueur au travail, l’éthique et l’unité, nous sommes convaincu que vous demeurez ce baobab avec lequel le Chef de l’Etat réélu devra compter pour matérialiser sa vision au cours de son second mandat », a-t-il conclu.
Pour rappel, le Président du Sénat Modeste Bahati Lukwebo a démissionné le mardi 20 février de la présidence de la chambre haute pour siéger à l’Assemblée Nationale, en application de l’article 108 de la Constitution sur l’incompatibilité des fonctions du député.
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